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Fraternité des Veilleurs d'Ephèse
17 novembre 2015

l'enseignement des Maîtres

L’enseignement que donnent les Hiérarchies n’est pas un enseignement que le mental puisse comprendre. Le mental vibre au taux vibratoire de l’ego. Il faut donc que cet enseignement soit compris par l’entendement divin, par l’âme qui, elle, sent où est la vérité. De plus, cet enseignement invite à une expérimentation. À l’ère nouvelle, il ne faut absolument pas croire ce que dit une tradition, une religion ou même un enseignement donné par les Maîtres. Il faut l’expé­rimenter, avec bonne volonté, et c’est uniquement lorsque l’on vit intérieurement la vérité de ce qui a été transmis que l’on peut croire non seulement à l’enseignement mais à la présence des Maîtres, qui veulent guider les hommes vers “l’Homme fait à l’image de Dieu”.

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Les êtres qui ont des doutes, s’ils ont la bonne volonté d’expérimenter, auront leur réponse.

Il faut encore mieux comprendre que lorsque l’on commence cette quête, lorsque l’on veut vivre l’initiation nouvelle qui réalise le contact avec l’Être de Lumière, on doit transformer les autres corps, c'est-à-dire leur donner une amplitude vibratoire plus haute par, justement, en vous, la Lumière des corps subtils. C’est donc uniquement cette ouverture vers les corps de Lumière, ce contact avec la Réalité qui pourra transformer les attaches qui, elles, vibrent au taux des corps du “vital” qui ne connaît pas le contact avec le Divin, qui est attaché au plan physique, qui veut avoir des satisfactions de ce plan. Rechercher des satisfactions de ce plan signifie être impliqué dans ce plan, ne pas être libre et disponible pour le Divin.

Mais ce n’est jamais par votre volonté que vous pourrez enlever les attaches avec les enfants, avec la famille. Car, comme nous venons de vous l’expliquer, ces attaches ne peuvent pas être enlevées sans une vibration plus haute, sans un contact avec la Lumière, et c’est la Lumière descendant jour après jour en vous qui remplacera les liens par l’Amour.

Lorsque l’amour pour le Divin emplit l’être — qu’il devient la seule source de joie à côté de laquelle toutes les autres semblent fades —, lorsqu’on est rempli de cette Lumière, les attaches tombent. Cela ne veut pas dire que l’affection pour ses enfants ou pour ses proches s’en va, bien au contraire, mais c’est un amour impersonnel. C’est un état où on aime l’autre dans le don, c'est-à-dire que l’on comprend que la plus grande joie, que le plus grand bonheur qui peut venir aux êtres, c’est le contact avec le Divin. Souvent, des épreuves qui sont infligées, et pour lesquelles s’inquiètent les mères qui n’ont pas la conscience, mènent leurs enfants vers une route qui leur apportera, malgré les apparences, beaucoup plus de bienfaits que la route sans souffrances qu’elles voudraient tracer pour eux. On ne s’identifie plus, à ce moment-là, ni aux peines ni aux joies qui peuvent venir à ceux qu’on aime, car on y voit l’action du Divin et l’on est total don et totale acceptation.

Le lien d’une mère ou d’un père avec ses enfants doit être transformé, et c’est peut-être la chose la plus difficile à accomplir. Mais si on arrive à comprendre que les enfants vous sont donnés par le Divin, que dans les enfants il y a le Divin, que seul compte le Divin, à ce moment-là on est libre parce qu’on est dans le total amour. Si l’on n’arrive pas à cette conscience, il y a lutte dans l’être : d’un côté l’aspiration à la Lumière, à la descente du Corps de Lumière ; et d’un autre côté les mille et un liens tissés par la filiation humaine.

Tant que l’on n’a pas fait le don de la filiation humaine pour la filiation divine, il y a donc cette souffrance et cette dualité. Mais c’est là aussi un grand aiguillon pour la transformation vers la paix et la sérénité.

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