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Fraternité des Veilleurs d'Ephèse
26 novembre 2014

La science cosmique 4

IX) L'UNIVERS : DE LA VIE VEGETALE A LA VIE ANIMALE

La transition de la vie végétale à la vie animale s'est produite si lentement qu'il a fallu des milliards d'années avant d'y arriver. Les cellules des plantes contenaient un principe vivant qui leur donnait un pouvoir, et cela  dès les unicellulaires, pour se développer selon le plan d'évolution qu'ils possédaient déjà, inscrit dans les premiers atomes qui composaient leur unique cellule. Ce plan général en contenait un grand nombre d'autres qui pouvaient structurer des espèces destinées à grandir jusqu'à la taille des géants de la forêt, en passant par l'intermédiaire d'une infinité de grandeurs, depuis les plantes microscopiques aux chênes altiers,  des lichens du Nord aux arbres à fleurs et à fruits des pays tropicaux. Ces unicellulaires ne portaient pas de schémas de vie végétale, mais des plans de vie animale, dont la réalisation fut laborieuse, pleine de périls menaçant la frêle vie qui sommeillait au sein du quanta vivant, porteur du germe de la gigantesque aventure du règne animal. Le plan était composé d'un nombre incalculable de pellicules qui se libéraient une à une, marquant une étape de l'évolution de la plante minuscule. Le schéma d'une pellicule en se réalisant, en découvrait un autre un peu plus complexe, pour aboutir enfin à celle qui donnait le mouvement, créant ainsi la première parcelle de la vie animale. Cette parcelle ressemblait bien plus à une spore végétale qu'à un animal. Ce protozoaire était pourtant l'anneau auquel devait s'accrocher la longue chaîne des êtres  vivants. Les cellules se formèrent. Le premier neurone apparut. Un être autonome commençait sa longue montée vers les formes supérieures de la vie. Ces pellicules étaient elles aussi différenciées. Elles ne portaient pas toutes le même plan de développement et Les plus grandes espèces animales y étaient déjà en potentiel, déroulant leur film "Coué" difficilement sans doute, mais sûrement, comme la nature sait si bien faire. La vie primitive animale sort donc de la vie primitive végétale. Les courants "porteurs de vie" en touchant la planète avaient déposé sous forme d'énergie, le merveilleux plan de vie prolifique, vigoureuse et variée qui recouvre la Terre.

La structure d'une cellule est infiniment complexe. Elle est l'aboutissement de milliards d'années de cheminement obscur à travers la matière. Elle s'est élaborée avec précision, sans omettre un trait du plan microscopique que seul un "Dieu" pouvait concevoir et déposer dans l'énergie vitale qui traverse le Cosmos en portant la vie dans les mondes nouveaux. La vie est ainsi la résultante d'une évolution de la planète qui contenait en potentiel, le merveilleux secret des êtres vivants. L'évolution continue, chaque jour apporte sont tribut, polissant l'oeuvre inégalable qu'un Créateur tout puissant a mis en mouvement.

X) L'UNIVERS : LA VIE ANIMALE

Près de quatre milliards d'années se sont écoulées entre le protozoaire et l'animal pluricellulaire autonome, au sexe différencié. La vie a été lente à se mettre en marche. Son plan était difficile à réaliser parce que complexe et portant, dans sa première partie, le point de départ de toutes les formes de vie qui devaient s'échelonner tout au long des nombreuses ères jusqu'à nous. Le schéma contenait en puissance toute la finesse du système nerveux et de l'organisation physiologique des animaux supérieurs. D'un unicellulaire à l'autre, celui portant un plan qui dépassait son espèce d'être, n'était plus tout à fait semblable dans la fine pointe de sa structure, puisque l'élément évolutif continuait à provoquer des transformations qui conduisirent à la multiplication des cellules, formant un noyau compact qui, par sa force vitale, attira d'autres éléments susceptibles de combinaisons variées, donnant une direction différente à l'évolution qui, en agissant sur les schémas, établissant des bases d'espèces qui ne cessèrent d'en établir d'autres jusqu'à l'épuisement des combinaisons inscrites dans le plan de vie de la planète Terre. Le travail lent de l'évolution est en lui même un plan qui agit en profondeur et où tout est prévu pour répondre aux exigences du climat et des transformations du globe. Il y avait en potentiel dans ces structures primitives, un pouvoir d'adaptation qui pouvait s'étendre jusqu'à la transformation complète du support de cette vie qui ne voulait pas mourir, qui s'accrochait à n'importe quel élément pour recommencer sur une nouvelle base à former une espèce qui résistait mieux au milieu dans lequel elle était placée. Un élément vital est lent à se manifester, mais aussi à perdre son principe qui puise sans cesse de la force dans l'énergie cosmique, cette grande et unique source de vie. Cette force adaptive a permis à la vie de créer un nombre incalculable d'espèces animales parfaitement intégrées au milieu où elles vivent, d'établir un équilibre entre le sol, les plantes, les insectes, les oiseaux, les animaux, et tous les êtres vivants, petits ou grands de la terre. L'évolution est un mot dont nous ne connaissons pas toute la signification. Il contient le principe de toute marche en avant, peu importe les obstacles qui la retardent mais qui, de toute façon, ne peuvent l'arrêter. Le plan du cosmos ne peut échouer, puisqu'il est conçu par "Dieu", alimenté par son énergie, et dirigé dans sa réalisation par des lois innarables.

Nous poursuivrons le mois prochain notre étude de la mise en place des univers. Pensez bien chaque mois, à installer votre oratoire afin que cette connaissance puisse s'inscrire en vous  afin de réveiller celle, inscrite depuis bien des lustres.

XI) L'UNIVERS : LA MATIERE

Nous avons vu que l'énergie est créatrice et qu'elle contient le plan du Cosmos dans chacune des cellules qui la composent. Nous savons aussi que l'énergie est le rayonnement de "Dieu", principe premier de l'Univers. Mais nous continuons à nous poser des questions sur : "comment ce principe divin a-t-il pu se transformer en matière grossière et imparfaite et cela selon des normes que l'intelligence humaine, délimitant la beauté et la perfection à partir de critères que son ignorance, a réduite à la superficialité".

Voyons ce que nous enseigne la science universelle sur cette matière dont notre monde et nous-mêmes sommes formés.  Nous savons que "Dieu" est éternel, qu'Il n'a pas eu de commencement et qu'Il n'aura pas de fin. (D'après ce que les hommes ont pu en déduire à travers toutes leurs connaissances). Cependant il y eut, dans la nuit des temps, un premier grain de matière, qui s'est mis à tourner quelque part dans cette masse sans fin de l'énergie divine. Ce premier grain contenait le plan du cosmos tout comme le chromosome reproducteur du père, contient le modèle physique de l'enfant qui naîtra de l'union. Les Lois, qui étaient inscrites dans cette particule d'énergie concentrée, ont mis en oeuvre toute une série de réactions énergétiques, qui se concrétisèrent d'abord en amas de matière gazeuse, puis en corps lumineux qui donnèrent naissance à des sphères de matière en ébullition qui, en tournant sur elles-mêmes, se refroidirent plus ou moins rapidement selon leur masse et leur composition. La matière est donc formée de grains, qui ont construit des atomes, et ceux-ci une infinité de matières, de la plus légère à la plus lourde, de l'invisible au visible, de la plus grossière à la plus éthérée... Tout le cosmos vient de ce premier grain sorti d'une énergie qui le forma en ralentissant sa vitesse inouïe de rotation que seule l'énergie divine, sous transformation, possède. La matière se construit sans cesse, elle ne sera jamais terminée puisqu'elle obéit à la Loi Universelle de l'Evolution. L'imperfection apparente de sa forme n'est que le passage d'un état primaire à un autre état plus parfait. Cependant, même sous sa forme imparfaite, elle est un chef-d'oeuvre inimitable, surtout si cette matière est "vivante".

Déjà dans l'unicellulaire, au premier stade de son évolution, le modèle des cellules futures de tous les êtres vivants était là, mystérieusement enfoui dans la profondeur des éléments qui composaient ce chaînon initial de la vie. Il fallait un "Dieu" pour inclure, dans ce premier grain la Vie, l'Energie reproductrice de la suite des êtres que fera naître l'Evolution.

XII) L'UNIVERS : LE MOUVEMENT

Comment définir le mouvement ? Quelle est la force qui fait tourner les particules de matière, qui composent les corps cosmiques, et qui fait qu'eux-mêmes tournent à une vitesse énorme ?

L'Univers est un véhicule sur lequel voyagent l'humanité et les corps célestes depuis le commencement du Monde. Véhicule qui plane à travers l'infini de l'énergie qui alimente tout le long de son parcours, qui répare et construit ce qui se casse ou ce qui se détruit. Le Mouvement est engendré par les forces contraires qui frappent sans cesse la matière, car l'énergie emprunte "Douze Formes" dont chacune a sa vitesse de vibrations particulières. Et, ces courants d'énergie se rencontrent constamment sur tous les sens. L'impact précipite les grains de matière les uns contre les autres, produit un mouvement si rapide qu'il se dégage d'eux une force, qui entretient la rotation folle de chaque atome, plongé lui-même dans l'immense couche d'énergie qui le pénètre de toute part. Le mouvement est une condition primordiale d'évolution, puisque chaque mouvement de la matière ajoute à sa forme une pellicule de plus "être", c'est à dire un temps qui fait avancer l'Univers vers la réalisation de son plan initial. Le mouvement est l'énergie en puissance de création. "Dieu" ne peut suspendre son pouvoir d'agrandissement du cosmos, son énergie s'étend à l'infini, et le propre de cette énergie est de construire, de donner et de donner encore... Le mouvement est l'acte de "Dieu", son énergie est l'élément même de la création, la réalisatrice de l'oeuvre gigantesque d'un cosmos en perpétuelle transformation. Le mouvement... C'est la vie des mondes. C'est la marche vers une fin idéale. C'est le franchissement de l'espace. C'est la course engagée sur la bande du temps qui doit conduire l'univers vers une perfection si grande qu'elle ne peut mettre le point, indiquant la fin d'un ouvrage divin.

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