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Fraternité des Veilleurs d'Ephèse
27 novembre 2014

La science cosmique 5

XIII) L'UNIVERS : LES GALAXIES

L'Univers est vivant dans toutes ses parties. Il est animé d'une vie qui va de l'électron aux galaxies. Il n'y a pas un seul grain de matière inerte, pas un seul atome qui ne suive des lois précises, exécutant un plan qui dépasse la compréhension humaine. De ces lois naissent les galaxies, particules de matière qui s'assemblent, qui s'organisent pour développer des soleils énormes  contenant, eux aussi, des éléments qu'ils expulseront ultérieurement sous formes de Mondes, portant en eux des germes de vie qui écloront sur certaines planètes, lorsque leur évolution sera assez avancée pour entrer en harmonie avec les grands courants "Porteurs de Vie". Les galaxies tournent dans un espace d'énergie spécifique pour chacune, car elles portent en elles des éléments caractéristiques qui permettront à un groupe de systèmes solaires d'appartenir à telle constellation plutôt qu'à une autre. Cela fait qu'une même galaxie peut donner naissance à une infinité de mondes variés. Ces corps immenses ont des formes imprécises, un peu nuageuses, mais d'une intensité très grande et d'une force explosive énorme. Elles semblent ne contenir que de la matière gazeuse, parce qu'en pleine évolution, mais elles portent des énergies différenciées qui seront nécessaires à toutes les formes de matière du cosmos. Ces masses énergétiques se déplacent à une vitesse inimaginable à travers l'espace, afin d'y puiser les différentes formes d'énergie dont elles ont besoin pour l'évolution des éléments qu'elles contiennent. Le mouvement est d'ailleurs le propre de l'évolution. A chaque giration un peu de forme se précise, un mince fil s'ajoute à l'immense broderie que le temps enrichit de nouvelles arabesques à chaque minute cosmique. Les galaxies sont une grande matrice de mondes où la gestation dure des milliards d'années. La matière est longue à se former. La nature fait un travail en profondeur. Chaque cellule de son plan est exécutée. Le Temps n'existe pas pour "Dieu". Il n'existe que des évènements aboutés les uns aux autres comme un long film qui se déroule. L'Homme est un roi qui peuple de sa pensée cet univers aux dimensions infinies. Il  est le lien psychique qui tisse le cosmos d'une couche de spiritualité, ennoblissant la matière et la rendant plus apte à s'unir à "Dieu"...

XIV) L'UNIVERS : LES ASTRES LUMINEUX

Les galaxies évoluèrent pendant des milliards d'années, et lorsque la condensation fut trop grande, elles éclatèrent... Des masses énormes en jaillirent avec plus ou moins de force, s'éloignant dans l'espace à des distances variées selon le degré de vitesse donné au départ.

Ces masses énormes se mirent à tourner sur elles-mêmes, se condensant à leur tour pour devenir d'immenses soleils d'où jaillirent plus tard des planètes, créant ainsi d'innombrables systèmes solaires tels que le nôtre.

Ces corps lumineux ne furent pas toujours à l'origine d'un système planétaire. Un grand nombre ne donnèrent que des étoiles ou des corps incandescents circulant en amas, encore que la distance entre chacune est énorme. Ces étoiles s'influencent fortement les unes les autres, créant des zones magnétiques, attirant des fragments de matière qui viennent se fondrent en eux. Les soleils sont constitués d'éléments énergétiques qui peuvent alimenter des corps qui se dégradent en perdant l'énergie qui les anime. Ces corps contribuent à maintenir l'équilibre entre les éléments qui composent le cosmos. Les astres lumineux fournissent ainsi de l'énergie pour le maintien de la vie. Les mondes habités ne pourraient l'être sans soleil qui leur donne lumière et chaleur, Elles-mêmes génératrices et conservatrices de la vie. Ainsi toutes les planètes sont tributaires d'un soleil. Elles sont soumises à son influence et gravitent autour de lui. Si, par exception, une planète en est trop éloignée, elle suivra son orbite, et recevra la chaleur dont elle a besoin d'un astre plus rapproché.

Les corps lumineux tournent eux aussi dans l'espace, suivant une ellipse immense qui prend des milliards d'années pour en faire le tour. Les systèmes solaires voyagent ainsi à une vitesse très grande à travers l'univers, ne passant jamais au même endroit pendant des milliers de millions d'années. Le cosmos est en perpétuel mouvement et chaque partie qui le compose à son rythme à elle, son temps et son espace.

XV) L'UNIVERS : LES SYSTEMES SOLAIRES

Les soleils lorsqu'ils sont éjectés d'une galaxie, se mettent à tourner sur eux-mêmes à une vitesse inimaginable. La matière incandescente, en se condensant, forme des gaz d'une puissance telle qu'ils explosent, faisant jaillir des monceaux de matière qui s'engagent sur des orbites différentes, commençant leur éternel cycle autour du soleil qui les a rejetés. Un système solaire est né. Les masses informes s'arrondissent en tournant. Les courants cosmiques qui les traversent de toute part momifient les éléments en fusion, en leur donnant finalement des propriétés de planètes. Il y a aussi des atomes inversés. Les électrons peuvent être négatifs ou positifs. Ce noyau peut contenir plus de protons que de neutrons. Les différences sont parfois minimes, mais elles sont suffisantes pour former d'autres matières qui, en s'unissant, donnent des corps d'une grande diversité.

Tout est varié dans le cosmos. Les systèmes solaires issus d'une même galaxie, tout en étant dissemblables, ont des points communs qui les placent dans telle ou telle catégorie, telle ou telle famille de systèmes, qui les groupent en mondes afin qu'il soit plus facile de communiquer entre eux. Pour savoir si un système est de la même famille qu'un autre, il nous suffit, au moyen d'appareils, d'analyser les électrons, car les mondes d'une même catégorie ont un même type de structure atomique. Le Grand Univers est vivant, dynamique, toujours en voie de se compléter en  créant des mondes nouveaux, ou en réparant la matière qui le brise. C'est un éternel chef-d'oeuvre qui ne sera jamais terminé. L'évolution est inscrite dans une grande loi cosmique. Il n'y a pas de fixité, tout est en perpétuelle transformation. Chaque quanta de matière change à chaque changement de quanta de temps, puisque le mouvement ne s'arrête jamais, et que le mouvement est la marche vers "quelque chose".

L'homme seul en est conscient. Il sait que cela existe et que chaque jour le rapproche  d'une fin "physique", mais il le sait ou avec certitude, ou au travers du doute qu'il y aura continuité au-delà de cette échéance matérielle que tous atteindront tous tôt ou tard...

XVI) L'UNIVERS : LES PLANETES

Un système solaire est composé d'un soleil et d'un certain nombre de planètes qui orbitent autour de lui. Il y a longtemps que les hommes ont découvert cette réalité. Cependant ces planètes n'ont pas toutes les mêmes liens entre elles quoique composées de matériaux semblables, elles diffèrent par la quantité des uns ou des autres. La matière, cette agglomération d'atomes, change de propriété dès qu'il y a une différence dans sa structure. Les planètes sont des corps sans lumière. Elles reçoivent leur chaleur d'un astre plus ou moins éloigné, ce qui détermine en partie le développement de la vie. La vie peut se développer dans les milieux divers, quoique les températures modérément chaudes soient de beaucoup les plus favorables, cependant cette condition n'est pas indispensable pour qu'elle puisse naître et évoluer normalement. Il y a les planètes éloignées de leur soleil qui possèdent dans leur masse des sources thermales et des métaux qui dégagent une chaleur suffisante pour faire éclore la vie, l'entretenir et la développer. Il peut arriver qu'un astre en dehors d'un système solaire réchauffe les planètes situées à la périphérie de ce système. Il y a des mondes, apparemment trop chauds, pour que la vie puisse y  naître. Et pourtant elle se développe à un rythme normal et parfois même évolue rapidement comme une fleur en serre chaude. Ces planètes ont ordinairement une atmosphère très dense qui arrête la trop grande pénétration des rayons solaires, et possèdent un système intérieur qui refroidit le sol.

La vie peut se développer dans bien des milieux qui, selon les critères de nos hommes de science, sont inaptes à atteindre ce degré ultime de l'évolution de la matière. Ces corps sombres atteignent parfois une masse énorme. Ils sont alors lents à se refroidir et à se modeler de manière afin de devenir propices au développement de la vie.

Ordinairement ces énormes planètes ne possèdent pas, en quantité suffisante, les éléments indispensables pour l'éclosion de cellules vivantes, à l'encontre, les mondes peu volumineux se refroidissent trop vite pour que l'évolution de la matière puisse atteindre également le degré de la vie. Les planètes ne sont donc pas toutes propices au développement des cellules vivantes. Mais dans l'immensité cosmique, des pléiades de mondes sont habités et seront habitables quand le temps les aura modelés assez finement pour contenir non seulement une vie inférieure mais pouvant évoluer jusqu'à la conscience humaine.

XVII) L'UNIVERS : L'ENERGIE CONSTRUCTIVE

La matière ne se condense pas au hasard. L'énergie primaire forme des courants spécifiques pour répondre à tous les besoins de la création. Le plan des éléments, que l'énergie constructive doit édifier, est contenu dans chacune de ses cellules, elle sait quelle partie construire ou réparer, tout comme le corps humain le sait, en refaisant ses cellules toujours sur le même plan. Les nouvelles cellules d'une blessure ne sont-elles pas exactement du même modèle que celles qui sont détruites ? D'ailleurs cette énergie constructive est présente partout dans chaque atome du cosmos. Elle est l'instrument et le matériau de tous les corps créés. Les métaux n'existeraient pas dans le sous-sol s'il n'y avait pas une force qui assemble les divers éléments, qu'un grand nombre de courants traversent, en une matière distincte et pouvant servir à des fins supérieures. L'énergie est une émanation de "Dieu". Toute matière s'est formée dans ce rayonnement. Peut-on imaginer que cet immense univers, si bien structuré, soit dû au hasard ou à la seule force de l'évolution ? Il a bien fallu un premier grain pour que le hasard ou l'évolution puisse commencer à se mettre en mouvement ! L'Hypothèse de hasard est tellement illogique qu'aucun homme intelligent et sincère ne peut la soutenir.

L'énergie constructive est donc l'élément dont se sert "Dieu" pour étendre sa création et la faire évoluer vers des formes plus fines et plus parfaites. La matière est en perpétuel mouvement, mais elle ne tourne pas à vide. Chaque seconde ajoute quelque chose à sa transformation que nos yeux humains ne peuvent analyser sûrement (malgré tous nos appareils actuels). Mais l'évolution avance, souvent en détruisant des structures pour en reconstruire d'autres plus parfaites et mieux adaptées au milieu.

L'énergie constructive, comme son nom l'indique, construit. C'est le souffle de "Dieu" qui se prolonge dans le cosmos. C'est sa puissance qui ne cesse de se manifester. C'est son amour qui polit son oeuvre, qui l'étend et l'étendra sans limite, puisque cette puissance et cet amour sont ceux d'un "Dieu", dont l'acte créateur ne peut s'arrêter.

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